Tout savoir sur le kimono au Japon

18 nov. 2025
La culture japonaise

En se promenant dans les ruelles de Gion, à Kyoto, ou en flânant entre les étals animés du temple Senso-ji à Tokyo, il n’est pas rare d’apercevoir des silhouettes vêtues de kimono traditionnel, se fondant avec élégance dans le tourbillon de la foule.

Beaucoup sont portés par des voyageurs, mais on voit aussi des Japonaises (souvent des jeunes femmes) qui n’ont guère l’occasion d’en revêtir dans leur vie de tous les jours. Le kimono n’est plus vraiment un vêtement du quotidien au Japon, mais il continue de séduire ceux qui souhaitent entretenir la tradition. Plongeons ensemble dans l’histoire de ce vêtement emblématique, pour mieux comprendre son passé… et entrevoir ce que l’avenir lui réserve. 

Jeune femme en kimono dans une pièce japonaise traditionnelle recouverte de tatamis

Sommaire 

  • L’histoire du kimono au Japon 

  • Les différents types de kimonos 

  • Comment porter un kimono traditionnel 

  • Comment porter un yukata 

  • Où vivre l’expérience du kimono au Japon 

  • Où acheter un kimono ou un yukata au Japon 

  • FAQ : toutes les réponses aux questions que vous vous posez sur le kimono et le yukata 

L’histoire du kimono au Japon 

Les origines du kimono remontent à l’époque Heian (794-1185). Le kimono n’était alors pas un style vestimentaire parmi d’autres : c’était LE vêtement par excellence. Le mot kimono se traduit d’ailleurs littéralement par « chose à porter ». Inspiré des habits traditionnels venus de Chine par le biais d’envoyés impériaux, le kimono a pris son essor lorsque ces échanges ont cessé, poussant le Japon à créer sa propre mode vestimentaire. Au fil des siècles, sa structure a peu évolué : toujours confectionné à partir d’une seule pièce étroite de tissu, le tanmono, avec un minimum de coutures. 

Femme en kimono de style Heian à cheval lors d’un festival, Japon

En revanche, les tissus ont connu de nombreuses évolutions, tant dans les matières que dans les motifs. Les premiers kimonos étaient presque exclusivement réalisés en soie, un textile qui resta prédominant jusque bien après le début du XXᵉ siècle. L’introduction du coton, entre le XIVᵉ et le XVIᵉ siècle, a permis de créer le kimono en coton appelé yukata, à l’origine simple peignoir réservé à l’aristocratie. Plus tard, le lin et le chanvre sont venus compléter la palette, jusqu’à l’arrivée du polyester qui a ouvert une nouvelle ère : celle des couleurs éclatantes et de l’entretien facile. 

Kimono exposés à Kyoto, Japon

Les différents types de kimonos 

On distingue en réalité deux grandes catégories : le kimono et le yukata, ce dernier étant une version estivale plus décontractée, confectionnée en coton ou dans d’autres tissus légers. Mais chez les femmes, il existe cinq principaux types de kimono, qui se différencient surtout par leur degré de formalité. Découvrons ensemble ces variantes, classées du plus simple au plus cérémoniel. 

Femme portant un kimono de tous les jours au Japon

Komon : le kimono du quotidien

À l’époque où le kimono faisait partie de la vie de tous les jours au Japon (il y a à peine un siècle) le komon était le modèle le plus répandu. Il était confectionné en soie rustique appelée tsumugi ou en coton, avec de petits motifs répétés. Comme autrefois, on ne porterait pas de komon pour une occasion formelle telle qu’un mariage ou une cérémonie de remise de diplôme. 

Femme portant un kimono <em>houmongi</em> bleu dans un jardin de thé japonais

Photo : Todd Fong 

Homongi : le kimono semi-formel et élégant 

Le hōmongi, littéralement « tenue de visite », est un kimono raffiné aux couleurs chatoyantes, orné de motifs teints ou brodés qui s’étendent sur différentes parties du vêtement. Ces motifs représentent souvent des fleurs ou des paysages naturels qui commencent à l’épaule, se prolongent sur les manches puis descendent jusqu’à l’ourlet. Il peut également comporter la broderie de blasons familiaux (kamon). 

Autrefois, ce type de kimono était surtout porté par les jeunes femmes célibataires, car il attirait volontiers les regards admiratifs. Aujourd’hui, il est choisi pour des occasions spéciales comme les mariages (en tant qu’invité), les cérémonies du thé, les réceptions ou les dîners formels

Femme japonaise portant un kimono iro muji

Iro muji : le kimono sobre et semi-formel 

Les iro muji sont des kimonos unis, déclinés dans une large palette de couleurs, que l’on porte lors d’occasions formelles où l’on souhaite rester discrète. Leur simplicité permet de les adapter selon l’événement et les accessoires. Les modèles les plus raffinés peuvent présenter des motifs tissés dans l’étoffe, mais jamais de couleurs teintes supplémentaires. 

Le degré de formalité d’un iro muji dépend aussi de la présence de blasons familiaux (kamon) : un seul pour une tenue élégante mais sobre, trois pour une version plus cérémonielle. On le porte généralement lors de célébrations familiales, de remises de diplôme ou de cérémonies du thé

Femme portant un kimono tomesode

Tomesode : le kimono de soirée 

Le tomesode est un kimono formel généralement porté par les femmes mariées. On le reconnaît à ses motifs élaborés, souvent rehaussés de fils dorés ou de broderies, qui n’apparaissent qu’en dessous de la taille. Le modèle le plus cérémoniel est le kuro tomesode, de couleur noire, exclusivement réservé aux femmes mariées.

Le tomesode porte presque toujours des blasons familiaux (mon), au minimum trois, et parfois jusqu’à cinq pour les occasions les plus solennelles. Il n’est pas rare qu’une mariée qui choisit une robe occidentale pour sa cérémonie de mariage se change en tomesode pour la réception. 

Maiko portant un kimono furisode dansant à Tokyo

Photo : Todd Fong 

Furisode : le kimono de cérémonie 

Le furisode est sans doute le plus reconnaissable des kimonos, avec ses longues manches flottantes et ses motifs teints sur l’ensemble du tissu, dans des couleurs vives et joyeuses. Si de nombreux visiteurs étrangers l’associent aux geishas, ce sont en réalité les apprenties geisha, appelées maiko, qui le portent ; la plupart des geisha adultes revêtent plutôt le tomesode. Les jeunes femmes le choisissent également pour célébrer leur remise de diplôme au lycée ou à l’université, ainsi que pour le seijinshiki, la cérémonie de la majorité. Symbole de jeunesse, le furisode est rarement porté par des femmes mariées ou plus âgées. 

Couple en kimono de mariage, Japon

Bien sûr, il existe d’autres types de kimonos, rarement vus et réservés à des artistes ou à des événements traditionnels. Parmi eux, le shiromuku, kimono de mariage immaculé, le junihitoe, porté par les femmes de la famille impériale, ou encore le hikizuri, utilisé principalement dans la danse traditionnelle

Jeunes hommes en kimono dans le quartier d’Asakusa, Tokyo

Les kimono pour hommes 

Les hommes portent eux aussi des kimonos et des yukata, mais contrairement aux femmes, il n’existe pas vraiment de sous-catégories. Les amateurs de mode risquent d’être un peu déçus : les kimonos masculins sont généralement assez sobres, réalisés dans des couleurs discrètes, unies ou à motifs simples. Aujourd’hui toutefois, certaines boutiques de kimono créatives adaptent des modèles féminins pour les hommes, offrant ainsi un choix de styles un peu plus varié. 

Femme aidant une autre femme à enfiler un kimono

Comment porter un kimono traditionnel 

Même si le kimono paraît être un vêtement simple, il est en réalité étonnamment difficile à enfiler, surtout pour les femmes. La principale raison est que le kimono n’a qu’une seule forme, tandis que les corps sont tous différents : les ajustements se font donc au moment de l’habillage, et non à la confection. Cela permet à des personnes de morphologies variées de partager le même kimono, mais demande aussi une véritable maîtrise pour le porter correctement. 

Accessoires de kimono

L’autre défi du kimono réside dans la coordination. Un kimono ne se porte jamais seul : il s’accompagne d’accessoires dont les couleurs et les textures complètent l’ensemble. Le nagajuban est un sous-kimono léger porté sous le vêtement principal. Son col reste visible et doit s’accorder avec celui du kimono. De nos jours, certains cols de nagajuban se parent de dentelle ou même de cuir, pour un style totalement revisité. D’autres accessoires (cordons, étoffes, sacs, sandales) viennent enrichir la tenue, mais aucun n’est aussi essentiel que l’obi

L’obi est une large ceinture que l’on imagine souvent destinée à maintenir le kimono fermé. En réalité, son rôle est surtout décoratif. Le kimono féminin est ajusté en créant un pli au niveau de la taille, maintenu par des liens de coton ; l’obi vient alors cacher ce pli et ces liens, tout en offrant un contraste ou une harmonie avec le kimono lui-même. 

Superbes ceintures obi portées par des jeunes femmes lors de la Cérémonie de la majorité (Seijinshiki)

Comme pour les kimonos, il existe plusieurs types d’obi. Le hanhaba obi, plus étroit et décontracté, s’associe souvent aux yukata ou aux komon. Le fukuro obi, plus formel, est souvent orné de fils d’or ou d’argent et accompagne les styles de kimono les plus élégants. Dans les boutiques de seconde main, on croise aussi beaucoup de Nagoya obi, des fukuro obi déjà pré-pliés, décorés de motifs plus sobres. Pour les femmes, l’obi se noue généralement assez haut, juste sous la poitrine, tandis que les hommes le portent plus bas, autour des hanches. 

Une instructrice aide une femme à enfiler un kimono

Photo : Todd Fong 

Il existe aujourd’hui de nombreuses ressources en ligne pour apprendre à porter un kimono, mais la plupart des visiteurs de passage au Japon veulent surtout tenter l’expérience une fois. La solution la plus simple est donc de se rendre dans une boutique de location de kimonos, où l’habillage par un professionnel est inclus dans le prix. Ces spécialistes vous guideront aussi dans le choix des accessoires, pour un ensemble harmonieux. Vous pourrez ainsi sortir rapidement, paré de votre tenue traditionnelle, sans vous perdre dans les innombrables combinaisons possibles. 

Femme portant un yukata en été

Comment porter un yukata 

Porter un yukata au Japon est une expérience un peu différente, car il vous sera souvent fourni si vous séjournez dans un ryokan traditionnel ou si vous visitez une ville thermale (onsen). Dans ce cas, il n’y a pas toujours quelqu’un pour vous aider à l’enfiler. Mais pas d’inquiétude : s’habiller avec un yukata est bien plus simple qu’avec un kimono. 

Contrairement au kimono, le yukata ne nécessite pas de superposition d’accessoires. Vous pouvez le porter avec vos sous-vêtements habituels. L’obi fourni dans un ryokan ou un onsen est généralement une ceinture étroite ou une bande de tissu que l’on noue de manière simple, juste pour maintenir le yukata fermé. 

Femme portant un yukata au Japon

Il existe toutefois une règle essentielle à respecter : toujours croiser le côté gauche du yukata sur le côté droit. Faire l’inverse est réservé à l’habillement des défunts pour les funérailles : une erreur que la plupart des Japonais remarquent immédiatement ! 

Femmes en yukata au sanctuaire Fushimi Inari, Kyoto

Où vivre l’expérience du kimono au Japon 

Si vous rêvez d’essayer un kimono et de vous promener dans les rues, vous connaissez sans doute déjà les lieux les plus prisés à Tokyo et à Kyoto. À Tokyo, des dizaines de boutiques de location entourent le temple Senso-ji, dans le quartier d’Asakusa, devenu l’endroit incontournable pour une balade en kimono. À Kyoto, on trouve de nombreux magasins autour de Gion, Higashiyama et Arashiyama, où les visiteurs se plaisent à poser en maiko ou à faire résonner leurs pas sur les pentes pavées de Ninenzaka

Femme en kimono traversant un pont dans la campagne japonaise

Photo : Todd Fong 

Mais il est aussi possible d’échapper aux foules de visiteurs en kimono pour découvrir des lieux plus secrets. Kawagoe (préfecture de Saitama) et Kamakura (préfecture de Kanagawa), accessibles en excursion d’une journée depuis Tokyo, offrent des décors parfaits pour une balade en kimono, sans l’affluence des sites les plus célèbres, surtout en semaine. Plus au nord, Kanazawa est une belle alternative à Kyoto, avec ses quartiers de l’époque Edo magnifiquement préservés, idéals pour des photos en kimono. Enfin, hors des sentiers battus, l’ancienne ville-château de Kitsuki (préfecture d’Ōita) est un véritable décor de carte postale : on peut y passer la journée en kimono, visiter le château, les résidences de samouraïs et même assister à un spectacle théâtral traditionnel de l’époque Edo. 

Couple en yukata dans une chambre de ryokan traditionnel

Les villes thermales (onsen) sont également idéales pour porter le yukata toute l’année. À Kurokawa Onsen (préfecture de Kumamoto) ou à Ginzan Onsen (préfecture de Yamagata), les visiteurs enfilent un yukata comme un peignoir pour aller d’un bain à l’autre. Pendant les périodes plus fraîches, on peut l’accompagner d’une veste légère appelée haori, qui permet de se promener confortablement entre deux sources chaudes. 

Jeunes femmes en <em>yukata</em> lors d’un festival d’été au Japon

Les festivals d’été sont aussi l’occasion rêvée de porter un yukata. On se joint alors à la foule animée, composée de locaux et de voyageurs, pour danser, savourer les spécialités des stands et admirer des animations spectaculaires comme les feux d’artifice. Et le meilleur dans tout cela, c’est qu’on trouve des festivals d’été partout au Japon. Il ne reste qu’à choisir votre lieu préféré, enfiler un yukata et vous laisser emporter par l’ambiance. 

Femme en kimono faisant des achats dans une boutique de kimonos vintage

Photo : Todd Fong 

Où acheter un kimono ou un yukata au Japon 

Si l’expérience vous inspire au point de vouloir ramener un kimono ou un yukata comme souvenir du Japon, vous n’aurez aucun mal à trouver où en acheter. La première question à vous poser est de savoir si vous souhaitez un vêtement neuf ou vintage

Dans les zones touristiques comme Asakusa à Tokyo ou Higashiyama à Kyoto, de nombreuses boutiques proposent des yukata neufs, faciles à enfiler soi-même et suffisamment légers pour être offerts en cadeau à vos proches. Il est également possible d’acheter le yukata unique conçu spécialement pour un ryokan, disponible dans sa boutique souvenir, une idée originale pour rapporter un morceau d’expérience vécue. 

Jeune femme choisissant des accessoires de kimono

L’achat d’un kimono neuf est plus complexe, car il est souvent confectionné sur mesure à partir d’un rouleau de tissu appelé tanmono. Le résultat est parfaitement ajusté, mais la confection demande du temps et le coût peut être élevé. C’est pourquoi la plupart des gens se tournent vers les kimonos d’occasion. On en trouve dès 500 yens, mais ils sont souvent tachés ou abîmés de manière irréversible. En revanche, des kimonos de bien meilleure qualité, parfois quasiment neufs, s’achètent pour quelques milliers de yens seulement. N’oubliez pas qu’un kimono nécessite de nombreux accessoires pour être porté correctement, notamment un obi. N’hésitez donc pas à demander conseil aux vendeurs si vous souhaitez composer un ensemble complet. 

Les grandes enseignes comme Tansu-ya vendent à la fois des kimonos et des yukata, neufs et d’occasion, avec un large choix de marques et de styles. La majorité de leurs magasins se trouvent à Tokyo, mais on en trouve aussi quelques-uns à Osaka et à Kyoto. Et pour les achats de dernière minute, sachez qu’il existe même une boutique à l’aéroport d’Haneda ! 

Femme en kimono

FAQ : toutes les réponses aux questions que vous vous posez sur le kimono et le yukata 

Quelle est la différence entre un kimono et un yukata ?

Le kimono est généralement confectionné en soie ou en tissus synthétiques et se porte avec plusieurs couches et accessoires. Le yukata, lui, est une robe estivale légère en coton ou en lin, bien plus simple à enfiler. 

Tout le monde peut-il porter un kimono ou un yukata, ou est-ce réservé aux Japonais ?

Oui, absolument ! Chacun peut porter un kimono ou un yukata, à condition de le faire avec respect. De nombreuses boutiques de location accueillent les voyageurs et vous aideront à choisir et à porter le vêtement correctement. 

Que doit-on porter sous un kimono ou un yukata ?

Sous un kimono, on enfile généralement un nagajuban (sous-kimono). Sous un yukata, vos sous-vêtements habituels suffisent. N’oubliez jamais la règle essentielle : toujours croiser le côté gauche sur le côté droit. 

Les hommes peuvent-ils aussi porter un kimono ou un yukata ?

Bien sûr ! Les kimonos masculins sont plus sobres en couleurs et en motifs, mais ils suivent la même structure. Les yukata pour hommes sont particulièrement populaires dans les stations thermales (onsen) et lors des festivals d’été. 

Quels sont les meilleurs endroits pour essayer un kimono au Japon ?

Les lieux les plus connus sont Asakusa à Tokyo, Gion à Kyoto et Kanazawa. Pour une expérience plus tranquille, préférez Kawagoe, Kamakura ou Kitsuki. 

Peut-on porter un kimono lors d’une cérémonie du thé au Japon ?

Oui ! Par exemple, l'excursion Cérémonie du thé en kimono à Kyoto vous permet de revêtir un kimono et de participer à une authentique cérémonie du thé dans une maison classée de Kyoto, avec dégustation de douceurs de saison et de matcha. Une façon élégante de plonger dans la tradition japonaise. 

Est-il possible d’acheter un kimono d’occasion ?

Oui, beaucoup de gens choisissent le kimono de seconde main car il est abordable et souvent en excellent état. Pensez simplement à acheter aussi les accessoires nécessaires, comme l’obi et les sous-vêtements adaptés. 

Peut-on porter un kimono ou un yukata pendant un festival ?

Tout à fait ! Le yukata est particulièrement apprécié lors des festivals d’été, tandis que le kimono se porte volontiers pour le Nouvel An, les mariages ou d’autres événements saisonniers. 

Quels accessoires faut-il pour un kimono ?

Au minimum : un nagajuban, une ceinture obi, un obijime (cordon), un obidome (élément décoratif), des chaussettes tabi et des sandales zōri ou geta.

Vous souhaitez vivre des expériences uniques pendant votre voyage au Japon ? Nos conseillers vous accompagnent dans la création de votre itinéraire sur mesure. Contactez-les dès aujourd’hui ! 

Ryokô wo tanoshindekudasai (Bon voyage) ! 

Explorez le Japon clés en main

Nos conseillers sont là pour vous aider à créer le voyage de vos rêves, n’hésitez pas à les contacter. 

Prendre rendez-vous en ligne
Jeune femme en kimono portant une ombrelle japonaise durant l’automne au Japon

Vous pourriez également être intéressé par ces articles

Pas un, pas deux… mais 5 records mondiaux au Guinness World Records pour le sumo star, Hakuho.

Vous vous réveillez dans un monde magique. Les yeux encore fermés, vous testez vos sens un par un. L’odeur de cèdre japonais émanant de l’encens couleur cannelle vous […]

On entend souvent parler du « vrai Japon ». Mais le « vrai Japon » n’existe pas. Ce pays possède de multiples facettes que vous découvrirez au fil de votre voyage. […]